Un naturaliste méconnu : Pétri Pellet (1825 - 1877) entomologiste

Par Robert BOURGAT
Muséum d'histoire Naturelle, 12, rue Fontaine-Neuve, F-66000 Perpignan


Résumé

La collection Pétri Pellet est conservée au Muséum de Perpignan. Les travaux de ce coléoptériste comptent 17 titres dont 6 articles essentiels sur la faune entomologique des Pyrénées-Orientales publiés entre 1867 et 1876 où il recense plus de 600 espèces reparties en une centaine de genres.

Summary

An unrecognized naturalist : Pétri Pellet (1825 - 1877) entomologist. The Petri Pellet collection is preserved at the Perpignan museum. The colleopterists' works gather 17 titles, with 6 essantial articles about the entomological fauna of the Pyrénées-Orientales published between 1867 and 1876 in wich he lists more than 600 species distributed in a hundred types.

Sinopsi

Un naturalista inexplorat : Pétri Pellet (1825 - 1877) entomòleg. La col·lecció de Pétri Pellet està conservada al Museu de Perpinyà. Les obres d'aquest especialista en coleòpters compten amb 17 títols entre els quals 6 articles essencials sobre la fauna entomològica dels Pirineus Orientals publicats entre el 1867 i el 1876 en els quals inventaria més de 600 espècies repartides en un centenar de categories.

 

Tombe de Petri Pellet (détail)
Cimetière Saint-Martin - Perpignan
© Robert Bourgat


La collection conservée au Muséum de Perpignan et les publications de Pétri Pellet maintiennent la mémoire de ce coléoptériste qui reçut de son vivant deux espèces en hommage, Saprinus pelleti Marseul 1862 (Histeridae) et Adimonia pelleti Joannis 1866 (Chrysomelidae) ainsi qu'un aimable poème de J. Mercadier reproduit ci-dessous. Les activités naturalistes du personnage, bien connues, sont encore aisément identifiables aujourd'hui, mais la discrétion de sa personnalité civile pourrait donner l'impression, peut être réductrice, qu'il n'a vécu jalousement replié sur les objets à six pattes, que pour et par les insectes.

Heureusement, les Archives de la Société Entomologique de France gardent le souvenir de son admission le 9 septembre 1857 parrainée par M. Bellier de la Chavignerie ; MM. Farmaire et de Barau étant commissaires rapporteurs. Pétri Pellet se présentait alors comme Avocat à Béziers. A partir de cette information les Archives Départementales de l'Hérault ont découvert à Montblanc, canton de Servian, arrondissement de Béziers (Hérault) la naissance le 11 juin 1825 d'un François Pétri Pellet dont le père Laurent Pellet était propriétaire du domaine Bellevue. Ce sont encore les Archives de la Société Entomologique de France qui ont approché la date de son décès, M. L. Buquet ayant fait part en séance le 28 novembre 1877 du décès inopiné de leur collègue « à Paris au cours de ce mois ». Le dossier de succession conservé aux Archives Départementales des Pyrénées-Orientales a confirmé les date et lieu de naissance de François Pétri Pellet et précisé ceux de son décès le 6 octobre 1877 à Paris.

Tombe de Petri Pellet
Cimetière Saint-Martin - Perpignan
© Robert Bourgat

 

En 1864, âgé de 39 ans, Licencié en Droit, célibataire aisé, Pétri Pellet avait quitté la profession d'Avocat et la ville de Béziers pour vivre de ses rentes à Perpignan où il eut plusieurs adresses : 1864, 1, rue Grande la Monnaie, 1873, 4 bis rue du Figuier, 1874, 1 bis rue de l'Aloès, 1876, place Arago. Après le décès du père en 1860, les biens familiaux ont été partagés, moyennant des compensations qui n'étaient pas apurées lorsque Pétri Pellet a rédigé le 8 décembre 1876, 10 mois avant sa mort survenue à l'âge de 52 ans, un testament olographe par lequel il donnait à Jeanne Marie Beaudot l'ensemble de ses biens, soit une importante somme en liquide provenant du quart du produit de la vente d'une maison à Carcassonne, d'un magasin à Béziers, d'un portefeuille d'actions, d'obligations des Chemins de Fer Portugais, de plusieurs créances ainsi que les intérêts de la dette de son frère courant jusqu'en 1881... Cela en reconnaissance « de sa conduite exemplaire et des soins assidus qu'elle me donne, étant avec moi... soit à Paris soit à Perpignan », et la priait « d'acheter à perpétuité un terrain au cimetière de Perpignan et de m'y faire inhumer, j'irai l'y attendre ». Cette concession perpétuelle située au cimetière Saint-Martin est enregistrée sous le numéro 562. Dans ce testament, Pétri Pellet fait allusion à son ami Charles-Denis Barbon résidant à Paris.

La passion qu'il vouait aux sciences naturelles et spécialement à la faune entomologique des Pyrénées-Orientales a sans nul doute déterminé son déménagement et le choix d'une vie nouvelle. Sa première publication n'est parue qu'en 1867, pourtant dès 1857 la Société Entomologique de France reconnaissait son savoir et le cooptait. En 1859, la Société Agricole Scientifique des Pyrénées-Orientales (SASL) lui accordait le statut de membre correspondant en résidence à Béziers et dès 1866, deux ans seulement après son arrivée à Perpignan, le nommait membre résidant, distinction qu'il a honorée par sa compétence, son activité et un attachement sincère au département qui l'accueillait.

Ses travaux essentiels, 226 pages réparties en six articles publiés entre 1867 et 1876, sont consacrés aux Coléoptères. En introduisant sa première publication sous-titrée « Suite au travail sur les insectes Coléoptères des Pyrénées-Orientales par M. le docteur Louis Companyo », il vante la richesse des Pyrénées-Orientales dans toutes les branches de l'histoire naturelle et rend hommage au maître toujours actif à l'âge de 86 ans : « l'oeuvre de M. Companyo est immense ; sans guide, sans noyau de collection, il a créé un Muséum d'Histoire Naturelle qui surprend par sa richesse tous les hommes de Science qui viennent explorer le Roussillon ».

Dans ces 6 articles il cite plus de 600 espèces, représentant une centaine de genres de Carabiques, Hydrocanthares, Histérides, Silphides, Psélaphides, Scydménides, Scotodytes, Coccinellides, Cicindelides. Orousset (1996) souligne qu'il a décrit plusieurs espèces telles Cymindis canigouensis, Trichius noui - dont Pellet (1873) a reconnu lui-même la synonymie avec Trichius fasciatus - Melanophila legrandi aujourd'hui synonyme de M. marmottani et Callidium verneti admis en 1873 comme synonyme de Semanotus laurasi. Pour vérifier ses déterminations il en appelait modestement à l'autorité d'entomologistes de renom. Dans le cas de Carabus trabuccarius, contesté par plusieurs auteurs, il se référait à L. Farmaire. En toute objectivité il maintenait la validité de Cardiomera genci bien que l'entomologiste allemand Schaum l'eût rebaptisé C. beauvouloirii en hommage au Vicomte de Henri de Beauvouloir qui était pourtant son ami.

Son attrait pour l'entomologie a amené P. Pellet à déborder le cadre de la systématique pour noter les curiosités comportementales de ses sujets. Ainsi il remarquait qu'Ophonus incisus bien que carnassier grimpait sur les plants de fenouil, non pour capturer des insectes mais pour absorber la liqueur contenue dans les graines. Dans un travail de 1872 sur les coccinelles il écrivait une belle page sur l'utilité de ces insectes dans la lutte contre les pucerons - dont le phylloxera - que leurs larves détruisent alors que les fourmis les élèvent pour les traire. Ailleurs il citait l'intérêt de Zygia oblonga découverte sous un toit de Perpignan, prédateur des nids de la guêpe gauloise. Pointilleux, il redressait en 1873 un résumé des travaux publié par la Société qui lui faisait dire à tort que les hannetons détruisent les insectes nuisibles. Il affirmait que les larves de certaines de leurs espèces, vers blancs, sont un fléau pour les agriculteurs, expliquait le cycle quadriennal des hannetons et enchaînait sur l'idée que la destruction des insectes priverait les oiseaux qui seraient alors susceptibles de détruire les bourgeons. Plus loin il vantait les mérites des carabiques auxiliaires de l'agriculture, mais recommandait la destruction des buprestes et des longicornes. Il apportait encore une mise au point sur Depressaria subproquinquella lépidoptère tinéite qui attaque les artichauts : ce ravageur ne pourrait réellement commettre des dommages graves que s'il pullulait. Concernant les ravageurs de la vigne, il remettait clairement les connaissances en place en disculpant plusieurs cétoines qui ne s'attaquent pas à la vigne et certains mélasomes dont Opatrum sabulosum simples opportunistes qui ne se nourrissant des bourgeons que si, comme en période sèche, les herbes viennent à manquer. Notons qu'il introduit ainsi la notion de préférence. Il détaillait ensuite les vrais ravageurs, pyrale, écaille martre, plusieurs charançons, le Sinoxylon sexdentatum, les haltises qu'il qualifiait de vraies calamités mais regrettait que la punaise verte soit souvent détruite en même temps que les haltises, à tort car elle en est justement un prédateur.

Ses contributions aux travaux de la SASL ont débordé le cadre de l'entomologie. Il a parmi d'autres thèmes présenté un rapport sur la maladie des platanes, expertisé un mémoire sur la rage des animaux domestiques publié par la Société Agricole des Sciences et des Arts de la Sarthe, produit une note sur le ramié Laporta canadensis (urticacée) plante textile dont on expérimentait l'acclimatation dans le département. Enfin, préoccupé par le patrimoine local, il a déploré la cession de l'herbier de M. Massot à l'Académie des Sciences de Montpellier qu'il qualifiait de grande perte pour notre Muséum. Cette perte serait compensée proposait-il, si on obtenait l'herbier local de M. Xatard dont Mme Veuve Massot dispose librement.

Pétri Pellet nous apparaît non pas comme un récolteur obstiné, collectionneur exclusif ou taxinomiste savant, mais comme un naturaliste ouvert, conscient de l'envergure de sa discipline qu'il était soucieux d'explorer dans sa plénitude pour en manifester les multiples incidences pratiques. En ce sens il peut être considéré comme un précurseur de la pensée écologique globale - particulièrement lorsqu'il se faisait l'avocat d'un viticulteur rivesaltais révélant qu'un engrais chimique avait été nuisible à ses vignes dont les récoltes étaient perdues - et de la lutte intégrée allant jusqu'à caresser la rêverie quand il citait la comptine en langue catalane gallinette, gallinette, mostre me el cami del cel, que te donaré pas y mel...

Pétri Pellet ne figure plus dans la liste des membres résidants de la SASL pour l'année 1878 publiée dans le Bulletin paru en 1880, mais ce bulletin rapporte que le Président Tastu a ouvert la séance du 15 décembre 1878 en rappelant... « nous avons perdu... Pétri Pellet naturaliste habile auquel notre bulletin doit d'intéressantes communications ». Albert Donnezan, Président de la section Sciences lui a rendu hommage... « à ces noms nous ajouterons, et ce ne sera pas sans une douloureuse émotion, celui de Pétri Pellet, le naturaliste si connu du monde savant qui après avoir magistralement décrit le faune entomologique de nos contrées, venait aussi apporter à la botanique son contingent de savantes et judicieuses observations [...] Dès longtemps ce regretté collègue avait conclu de la position topographique du Roussillon que le Phylloxéra ne nous viendrait pas par essaimage le long du littoral, et il nourrissait l'espoir de voir échapper au fléau ces magnifiques vignobles, que l'imprudence de viticulteurs a compromis peut-être sans retour ».

Tombe de Petri Pellet (détail)
Cimetière Saint-Martin - Perpignan
© Robert Bourgat


A M. P. Pellet : Poème de J. Mercadier

Savant naturaliste,
Habile observateur,
Un humble fabuliste
Un modeste conteur,
Amoureux de la vogue
Vient te restituer
Ce touchant apologue
Et te le dédier :


LE CARABE ET LE NATURALISTE

A l'heure où la brise dort
Au sein des fleurs odorantes,
Le soleil de Messidor,
Sur les moissons palpitantes,
Dardait ses flèches brûlantes
Et mêlait ses teintes d'or
A l'émeraude des plantes.
La terre tressaillait sous ses baisers ardents,
La prairie embrasée épandait dans la plaine
Les parfums enivrants
D'une amoureuse haleine.
Sous un arbre, un savant
Contemplait en rêvant
Ce spectacle magique.
Voici du neuf
Et du tragique :
A ses pieds tombe un oeuf,
Mainte chanson sans évapore :
Dans la coque ouverte apparaît
Le foetus d'un chardonneret,
Sur le point d'éclore.
Le savant le recueillit
Et se dit :
Une mère dénaturée,
Que délaisse son suborneur,
Par le désespoir égarée,
Peut, pour cacher son déshonneur,
Détruire sa progéniture :
Par un tel forfait, les oiseaux
N'outragent jamais la nature !..
Les vents ne rident pas les eaux :
Dans son rameau le nid repose
Comment donc expliquer la cause
De la chute de l'oeuf ? Pourtant,
Il en est une. - A cet instant,
Un carabe comme une fève
Arrive, explore et court sans trêve,
A maint obstacle se heurtant :
Il cherchait sûrement sa proie.
Déçu, frustré, notre escarbot,
Que ne gêne point le sabot,
Du nid reprend soudain la voie.
Sa colère la dénoncé :
Ah ! fit le savant courroucé,
Voilà le mangeur d'omelettes,
L'ornithophage ingénieux
Qui, hors du nid poussant les oeufs,
Les faits choir sur les pâquerettes
Où le goinfre prend ses repas !..
Petit gourmand, par le trépas
Il te faut expier ton crime :
Meurs à côté de ta victime !..
Du malfaiteur l'habileté
N'assure point l'impunité.


Publications de François Pétri Pellet

1867 - Histoire naturelle du département des Pyrénées-Orientales. Entomologie. Suite au travail sur les Coléoptères par M. le Docteur Louis Companyo. Carabiques. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, T. XV : 140-163.

1867 - Histoire naturelle du département des Pyrénées-Orientales. Entomologie. Suite au travail sur les Coléoptères par M. le Docteur Louis Companyo. Hydrocanthares, Histérides, Silphides, Psélaphides, Scyménides, Scotodytes. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, T. XV : 193-226.

1868 - Description de la larve de la Zygia oblonga Fabricius. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, T. XVI : 103- 106.

1870 - Histoire naturelle du département des Pyrénées-Orientales. Entomologie. Description d'un nouvel insecte de la famille des Lamellicornes ou Scarabéides, genre Trichius, Trichius noui. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, T. XVIII : 472-475

1871 - Un mot sur le phylloxera. Indépendant des Pyrénées-Orientales, 7 septembre.

1871 - Deux Coléoptères nouveaux (Trichius noui ; Callidium verneti). Petites Nouvelles Entomologiques, 3 : 164.

1872 - Les Coccinelles qui se trouvent dans le département des Pyrénées-Orientales. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, T. XIX : 161-195.

1872 - Mulsant Etienne et Pellet Pétri - Description d'une nouvelle espèce de Buprestide.- Annales de la Société Linnéenne de Lyon, (N.S.) 18 : 201-200.

1873 - Mulsant Etienne et Pétri Pellet - Le Vesperus Xatardi fait périr les vignes dans le Roussillon ! Abeille, 13 CLXX - CLXXI (1875)

1873 - Faune entomologique du département des Pyrénées-Orientales. Liste des hannetons des Pyrénées-Orientales, Cicindélidés. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, XX : 137 - 168.

1873 - Note sur Cardiomera genei pris à Ria - Annales de la Société Entomologique de France, 5 : 3.

1874 - Histoire naturelle du département des Pyrénées-Orientales. Entomologie. Description d'une larve de la famille des Carabiques, genre Cardiomera de Bassi ; Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, XXI : 59 - 65.

1874 - Faune entomologique du département des Pyrénées-Orientales. Deuxième famille, Carabidés. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, XXI : 65 - 116.

1874 - Lichtenstein Jules & Pellet Pétri - (Sur le Vesperus Xatarti). - Annales de la Société Entomologique de France, (5) 4, Bull. XXXVII (= Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, 1874, 46).

1876 - Faune entomologique du département des Pyrénées-Orientales. Carabiques (suite). Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, XXII : 321 - 375.

1876 - Rapport sur le Lépidoptère qui attaque les artichauts, Depressaria subpropinquella. Bulletin de la Société Agricole Scientifique et Littéraire des Pyrénées-Orientales, XXII : 57 - 63.

1876 - Quelques mots sur Vesperus xatarti. L'Abeille, 14, 3, X - XIII

Sources

Archives Départementales de Pyrénées-Orientales : Bulletin de la SASL (cote 1136 PER 4 et 5), Tomes 15, 16, 18, 18, 20, 21, 22. Table des successions (cote 124 w 581). Mutations par décès (cote 124 w 414). Actes notariés (3E 61/13). Archives Municipales de Perpignan : Matrice des contributions personnelle, mobilière et des patentes 1864 à 1877.

Bibliographie

Beenen R., 2007, Un intéressant Coléoptère phytophage au Muséum d'Histoire Naturelle de Perpignan (Coleoptera : Chrysomelidae). Annls. Mus. Hist. Nat. Perpignan, 15 : ..-...

Constantin R., 1992, Mémorial de Coléoptéristes français. Suppl. Bulletin ACOREP, 14, 92p.

Derksen W., U. Scheiding-Göllner, 1968, Index Litteraturae Entomologicae, Série II, 1864-1900, band III, M-R. Deutsche Demokratische Republik, Deutsche Akademie der Landwirtschaptswissenschaften : s p. 17.

Orousset J., 1996, Les pionniers de la Coléoptérologie dans le Pyrénées-Orientales. Bulletin ACOREP, 26 : 19-26.

Tronquet M., 2001, Les Staphyllins de la collection Pétri Pellet du Muséum de Perpignan. Annls. Mus. Hist. Nat. Perpignan 11 : 23-33.

Remerciements

à Ron Beenen qui a suscité cette note et à tous ceux qui en ont patiemment alimenté la documentation soit à titre personnel, Robert Constantin, Pierre Jolivet, Jean Orousset, soit au nom de leur Institution, Agnès Vinas pour la Société Agricole Scientifique et Littéraire de Pyrénées-Orientales, Yves Gomy et Jean Ringeard pour la Société Entomologique de France, Vivienne Miguet et Nathalie Floche pour les Archives départementales de l'Hérault, Pierre Lairis pour la Mairie de Montblanc, Pierrette Roube pour l'U. F. R. de Droit de L'Université de Montpellier, Paul Capsié pour la Direction des Services Funéraires de la ville de Perpignan, l'ensemble des personnels des Archives Municipales de Perpignan et des Archives Départementales des Pyrénées-Orientales.