Dès son arrivée en Angleterre, à la fin du XVIIIe siècle, le vase de Portland a suscité, en particulier chez les artistes, un intérêt passionné.

Le premier à en mesurer toute l'importance a été Josiah Wedgwood, qui a entrepris d'en faire une copie néo-classique en céramique, et qui l'a fait connaître à son ami, le poète Erasmus Darwin. Plus tard, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, ce sont les verriers Pargeter et Northwood qui ont à leur tour relevé le défi d'une reproduction fidèle en verre-camée.

On trouve enfin une mention du précieux vase, à sauver de la destruction, dans une nouvelle de science-fiction d'Arthur C. Clarke.

 

British Museum
© Agnès Vinas